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6 December 2019
Au plateau et à la fosse de rehausser le spectacle. Fidèle à une certaine tradition, Philippe Jordan omet le troisième acte, le moins borodinien, tout en maintenant le monologue d’Igor, un des morceaux non retenus par Rimski et Glazounov, dont l’orchestration retenue est celle de Pavel Smelkov.
Read the original review31 October 2019
A la différence de Philippe Jordan, Fabio Luisi est à la fois un chef de théâtre et un chef verdien. Les alliages de timbre, les courbes de la phrase n’ont pas de secret pour lui, qui obtient des musiciens une magnifique pâte sonore – on se régale des introductions du troisième et du quatrième acte.
Read the original review21 May 2019
Pas de Tosca sans chef. La qualité de cette reprise ne tient pas moins à la magnifique direction de Dan Ettinger, à la fois narrative et descriptive, entretenant une sorte de suspense tout en créant des climats – le lever de soleil au début du troisième acte, par exemple.
Read the original review26 January 2019
Tout repose donc sur les épaules de Philippe Jordan, qui a beaucoup travaillé sur les timbres et souligne la modernité de l’instrumentation de Berlioz. Mais il en perd la trajectoire, ratant La Prise de Troie, où il n’avance pas et ennuie beaucoup.
Read the original review28 November 2018
Il dirige, de plus, une distribution homogène et de grande qualité. Marianne Crebassa fait en Angelina des débuts remarqués, avec une égale maîtrise du cantabile et du chant orné, privilégiant le côté mélancolique du personnage à travers une très juste et très émouvante incarnation.
Read the original review20 May 2018
Ce diptyque Ravel/Puccini avait été présenté en 2004. Plus de dix ans après, il tient toujours le coup et l’appariement de L’Heure espagnole et de Gianni Schicchi fonctionne. Sans doute grâce à Laurent Pelly, qui parvient à les relier.
Read the original review17 July 2017
L'Anglais signe une production brillante et rythmée, dans l'esprit du musical ou de certains films américains, aux couleurs rutilantes, où l'on court très vite à la catastrophe, avec des vidéos se succédant à une allure affolante, où les bas-fonds ne sont pas loin des gratte-ciel.
Read the original review16 July 2017
Pour mettre en scène le chef-d'œuvre mozartien, Jean-François Sivadier fait... du Jean-François Sivadier, offrant une fascinante mise en abyme du mythe. A la tête d'un orchestre qui n'a pas toujours les moyens des ambitions de son chef, Jérémie Rhorer, s'il ne manque pas d'énergie, peine à tendre l'arc du drame et à créer des climats avant l'acte II.
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